Details autres

Ici sont répertoriés les détails sur les régions sauvages et inhabitées , proches d'Ulmendya, la cité puits Nemen.
(Attention : cette région est en permanence en guerre, et est très dangereuse tant que les Nemens n'auront pas stabilisé la situation...)

Carte détaillée



Cités principales

(En couleur, les ressources, ingrédients , lieux particuliers ...)


ULMENDYA
La cité puits est assiégée par les troupes du P'KhenS'sarkh depuis plus de cinq ans.
Les combats sont incessants, et d'une violence inouïe.
Peu se déroulent en surface, tous au sein même des premiers niveaux de la cité...
Néanmoins, les abords sont souvent fréquentés par des puissants rejetons et par des troupes de réserve !

Les Nemens ont clos l'accès à leur cité depuis tout ce temps, et ont délaissé en partie la protection du reste du territoire, même si leurs troupes contrôlent encore aisément les lieux de passage, et protègent les transports Volants.

Note importante : la description complète de la cité d'Ulmendya sera accessible plus tard dans le jeu.


Lieux


Le pilier au sommet de la montagne
Très dangereux, et parfois envahi de rejetons ou d'aberrations, il y règne un froid glacial et rien ou presque ne pousse alentour.

Collines Maudites
Parsemées de vallons boisés, de rus et de fondrières, les collines maudites sont aussi et surtout parcourues de nombreux rejetons, les rendant mortelles pour tout inconscient s’y aventurant.
Le vent qui descend du Mont des deux rends les lieux étrangement frais sous les frondaisons.

La forêt leste
Etrange forêt que cette partie boisée proche de Agherph’ta S’sarkh et ou il est si facile de se perdre.
Elle tient son surnom des légendes qui se content aux veillées, narrant les arbres qui se déplacent, les buissons qui vous capturent, les branches malveillantes qui entravent votre marche, comme si chaque élément de cet étrange endroit était animé d’une vie propre.
Chaude et souvent humide, l’atmosphère y est lourde, rendant la forêt leste encore plus difficile a supporter.
A sa lisière ouest, se trouve une mine qui donne du plomb en quantité.

Le haut des arbres
Au centre de la forêt leste, se dresse une montagne en forme de croix qui émerge de l’émeraude des arbres comme se dresserait un symbole ésotérique.
Bien peu de ceux qui ont pu passer la forêt leste et en gravir les pentes en sont revenus, mais les rares survivants en racontent les périls innombrables, les plus puissants des rejetons y semblant rassemblés.
Montant de la foret, la chaleur de ses frondaisons heurte souvent l’air frais qui parcoure les cimes des hauts des arbres, créant de fréquents bancs de brumes.

Hauts du bout
Les hauts du bout, sont de froides collines aux frontières des glaces .Surtout rocheuses, elles présentent un conglomérat de roches diverses et variées dont bon nombre contiennent des pierres de toutes couleurs et de toutes tailles : les tournalines
Faciles à tailler et à travailler, elles n’en sont pas moins sans réelle valeur, juste jolies et colorées, leurs nombreuses inclusions les empêchant de renvoyer la lumière comme le ferait une pierre précieuse.
Cousues sur des vêtements, incrustées sur des objets, elle font beaucoup d’effet, a peu de frais.
Pourtant, parmi elles, on trouve du breckar rouge , fort recherché par de nombreux artisans
Il y fait frais a longueur d’année, mais sans excès.

Le mont des deux
Ainsi nommé à cause des deux rivières qui en descendent, le mont des deux sert de frontière Est à l’Equilibirum.
Parcourue de nombreuses créatures agressives et hargneuses, perverties par les effluves du S’sarkh, la région ne se prête guère aux balades et a l’exploration, aussi est elle peu connue.
Si sa face Nord Est est glaciale et battue par les vents , il y règne un plus grand calme sur l’autre versant.

Le delta d’ Orénia
Le terrain que traverse l’Orénia pour rejoindre la mer est en cet endroit en faux plat, dont la pente, descendant imperceptiblement vers l’est, empêche l’eau du fleuve de s’écouler, sereine, vers la mer toute proche.
Aussi , ses eaux, nonchalantes et sans force autre que celle d’un courant paresseux, s’éparpillent elles alentours dans un marécage traître et peuplé de créatures dangereuses.
Variant sans cesse, les rus qui portent finalement les eaux de l’ Orénia a la mer, ne peuvent être fiables, tant leurs cours varient, pouvant en quelques heures, inonder un terrain jusque là ferme et praticable. l'amborcie des marais y pousse en abondance, pour peu qu'on ose s'aventurer dans ces marais mortels
Il y règne toute l’année une chaleur lourde et humide qui en rend l’atmosphère étouffante.

La montagne morte
Rien n’y pousse, rien n’y vit qui ne soit perverti et tout n’y est que désolation . Un silence angoissant y règne, à peine troublé par les plaintes lugubres du vent qui se faufile entre les roches.
Il y règne un froid constant que le vent accentue.


Récapitulatif des ressources


(générales et particulières : toutes ne sont pas répercutées ici, uniquement celles relativement spécifiques à cette région)

Ressources Vivrières

- Gibier divers : chassé, piégé, …. ( produits dérives : plumes, fourrures, bois, cuirs )

- Fruits , légumes et baies : au hasard des ramassages et des cueillettes

Matières premières

- plomb : Au nord ouest des hauts des arbres, une mine de plomb a été ouverte récemment...